Le jeu du chat et de la souris... ou presque

C’était magnifique. Petit et adorable. Insouciant, laissant juste l’envie de jeu et la curiosité les guider, le danger leur était inconnu, si bien protégés, rien ne pouvait leur arrivé, ils vivaient heureux sans se soucier du temps qui passe, des gens qui viennent et s’en vont, de leurs compagnons qui partent un par un, vite remplacés par d’autres qui font que le jeu et l’aventure pouvait continuée encore et encore. Cela faisait maintenant 25 minutes que Miya’ était fasciné devant ces boules de poils qui grimpaient partout : sur les barreaux, sur le toit de leur maison, la passerelle et tout autre chose se trouvant dans la cage. Certes, ils étaient enfermés, mais ils n’avaient jamais gouté à la liberté, alors ils étaient heureux comme ça, c’était ça la vie pour eux, elle était belle. On s’adapte dans notre habitat, et ce qui peut paraître étrange aux yeux des autres est tout ce qu’il y a de plus normal aux nôtres, l’habitude fait que ce n’est plus qu’un détail insignifiant parmi tant d’autres, .

C’était décidé maintenant, une de ces magnifiques boules de poil gouterait à la liberté dès aujourd’hui ! Il regrettait de ne pas pouvoir en faire sortir plusieurs mais ça demandait beaucoup trop d’entretient, et il n’était pas riche non plus, l’animal en lui-même ne coutait presque rien et il était déjà vacciné avec tout les soins qu’on pouvait imaginer, mais la cage, qu’il faut changer chaque jour voir même deux fois par jour en été, ainsi que la litière et la nourriture n’était pas donné ! Il passa son doigt comme il pu à travers deux barreaux, assez fins pour que ces petites bestioles ne sortent pas, un seul animal vint vers lui. Contrairement à la plupart des gens, il n’avait pas peur des rats, encore moins des bébés. Les gens autour de lui le regardaient, certains un peu dégoutés, mais c’était bien la dernière chose au monde dont il se souciait. Un vendeur s’adressa à lui pour lui dire de ne pas mettre ses doigts dans la cage. Il l’avait simplement fait pour choisir le quel il sortira de sa prison, et il savait maintenant.

"Je voudrais celui-ci s’il vous plait…"

"Bien monsieur."

Il regarda, toujours avec cette même fascination, une pointe de vie qui n’était là que rarement dans ses yeux, l’animal qui se demandait pourquoi cette main le prenait lui, laissant ses compagnons en bas alors que lui allait de plus en plus haut. Il n’eu pas le temps de faire quoi que ce soi qu’il se retrouva dans une petite cage. Miyavi prit un peu partout dans le magasin tout ce dont il avait besoin : une grande cage avec tout ce qu’il fallait pour la décorer et faire quelque chose de ressemblant à celle où le rat avait passé le début de sa vie, même si il serait souvent sous les cheveux bleus de Miya’. De la nourriture, des gamelles et de la litière, même un petit harnais avec une laisse spécialement prévu pour un bébé de son espèce. Il avait tout, c’était vérifié au moins de fois, il paya mais resta quand même dans l’animalerie, à regarder les autres animaux : il y avait de tout, des chats, des chiens, des oiseaux de toutes sortes, de poissons, des tortues… Il n’aimait pas tellement les animaleries, il trouvait ça cruel de voir tout ces pauvres animaux enfermés sans rien pouvoir faire… Il n’y resta pas plus longtemps, il sortit donc, prenant le plus grand soin à ne pas cogner le sac contenant le rat, bien à l’abri dans sa petite… prison. Cage de voyage avait dit le vendeur, si ça lui plaisait d’appeler ça comme ça, tant mieux pour lui.

Le banc le plus près servit beaucoup. Il y posa tout ce qu’il avait dans les mains et fit sortir le rat. Le vendeur lui avait dit que c’était un mâle… Il le prit dans ses deux mains et le porta à la hauteur de son visage en murmurant ce qui serait désormais son prénom.

Masatake…

Il était un peu mélancolique en prononçant ceci, mais il était heureux au moins.

kurushimi sortait du bar tabac spécialisait en drogue et autre substance dangereuse
il venait d'achter des cendre, mais les cendre était spécial c'était des cendre humaine
kurushimi adorait sa et voulait en consomer toute sa vie d ailleur il avait signer un abonement
il passa a coté d'un banc avec bizarement un néko avec un rat dans les main
vue quil reconaisser le jeune homme qui venait de kuro
il lui fit une blague trés conne mais en méme temp kurushimi l était
il pris la souris dans la bouche sans l avaler ni lui fair mal
l aire dégouter de l éléve lui mit un gros sourire
tout en étranglant kuru pour lui arracher le rat de la bouche il lui donner des coup de genous dans le ventre
il recracha le rat sur le banc et le rat aver une mine d'étonnement

c'est bon jlai lacher moi c'est kurushimi et toi?

aprés lui avoir fraquasser le ventre il pris un aire décourager
kurushimi riez comme un fou

Le rat avait l’air de s’habituer à Miyavi, assez facilement d’ailleurs, Il s’amusait a grimper le long du bras du neko pour finalement retourner dans ses mains et recommencer le jeu plusieurs fois, sans se soucier du temps qui passait, aucun des deux n’y faisait attention, peut-être qu’une heure était passé, dix minutes, deux heures, il n’en savait rien, et s’en fichait totalement, de toute façon, il n’avait rien d’autre a faire que de laisser passer le temps ou d’essayer qu’il paraisse moins long. Il était heureux, la solitude qu’il avait presque toujours connue n’était plus, Masatake était avec lui maintenant, et ce pour longtemps. Son protégé semblait en avoir marre, il était couché dans son cou, Miya’ sentait sa respiration paisible et ça le rassurait. Il n’avait jamais été dehors et l’animalerie était plutôt bien chauffée, le contraste pouvait être assez violent pour un animal si petit, et le moindre rhume était fatal.

Il se décida alors à reprendre sa bestiole dans ses main pour ne pas qu’elle attrape froid et la regarder dormir, mais le changement soudain de place eu pour effet de le réveillé, il avait d’ailleurs l’air parfaitement reposé, prêt à continuer de jouer. C’était fout comme quelques minutes de sommeil pouvait remettre quelqu’un d’aplomb pour toute une journée… Les gens continuaient de passer, beaucoup e le regardant bizarrement. Qu’ils fassent ce qu’ils veulent, ils ont l’air tellement cons comme ça à juger sans savoir, avec une simple image… Alors qu’il tourna la tête quelques secondes pour vérifier quelque chose dans son sac, il sentit le poids, même très léger, de l’animal disparaître. Instantanément, il remonta le regard devant lui pour constater avec effroi qu’un taré venait de mettre son rat dans sa bouche. Ses yeux passèrent d’un gris clair au noir, au sens propre du terme, il ne savait pas pourquoi mais quand il était énervé, ses yeux prenaient cette couleur sans qu’il ne puisse rien y faire. Sans perdre de temps, il se mit sur ses pieds et sauta à la gorge du type qui avait l’air d’y prendre un malin plaisir. Sans même se retenir, son genoux martela le ventre de ce taré, dérapant « malencontreusement », ou peut être pas si accidentellement que ça, allez savoir…, dans les parties sensibles, serrant le cou de celui-ci de sa petite force.

Quand le rat fut de nouveau sur le banc, Miya’ sauta dessus. Le pauvre avait l’air… traumatisé. Il le surveilla quelques secondes, mais son état n’avais pas l’air de s’arranger, au contraire… Il le remit dans la petite cage, arrachant un bout de son t-shirt pour le couvrir, il aurait juste un effet un peu plus déchiré ça ne changeait pas grand-chose. Sans prévenir, il se retourna vers l’homme qui venait de se présenter, il ne fit même pas attention à ce qu’il lui avait dit, il pouvait s’appeler Georgette ou Lucette, il n’en avait absolument rien à faire. Il sauta sur l’homme, sortant ses griffes et lui plantant dans le ventre, les descendant un grand coup vers le bas. Pas de chance pour lui, elles étaient pointues et coupantes. Miyavi retira ses ongles plein de sang, comme devait l’être le torse de son interlocuteur. Il le chopa par le cou, le plaquant contre la vitrine du magasin d’en face, le gérant n’avait pas l’air d’apprécier d’ailleurs, serrant ses mains plus fort que il y a quelques secondes, plantant le début de ses griffes dans la chair. Enervé, il faisait vraiment peur, il n’avait rien à voir avec le petit gamin habituel, toujours renfermé sur lui-même et peureux, il n’avait pas peur, même si c’était facile de lui faire redevenir ce petit être faible et craintif, il suffisait juste de lui crier dessus et de lui aire reprendre conscience.

Touches encore un seul de ses poils et je te tue…

Pour bien appuyer ses paroles, il resserra ses mains, faisant perler le sang de l’inconnu. Il avait l’impression de le connaître, mais où, pas moyen de s’en rappeler, il avait vu tellement de monde ses derniers temps. Peut-être au lycée, quand il avait été déposé ses valisées en vitesse, la seule fois où il y avait mis les pieds…

il me prit et m écrasa contre la vitrine du magasin asser proche
et il me dit

Touches encore un seul de ses poils et je te tue…

pour lui répondre et éssayer de détendre l'atmosphére

parlons en des poil ton rat en pére des ...

il fut stopper net par la martélement incéssant de coup de genou dans son abdomen
mais en éssayant de bouger il montra du doigt un voleur en train de piquet les affaire au néko celui ci se précipita directement vers lui en lui courrant aprés comme un fou enrager tout comme kurushimi qui détester les voleur surtout celui ci qui ressemblais vraissemblablement a un vampire , et celui ci ressemblais au une guilde de voleur vue sa facon de courire parmit la foule
kurushimi pris un morceau de vitre et le lancant avec une éxtréme précision en plein dans la nuque du voleur ,avec un sourire il se diriga vers le néco calmement
la foule étant si compacte que persone ne sen rendu compte qun homme fut tuer
en s aprochant du néko qui ramasser c'est affair et son précieux rat kurushimi lui tendit un sachet de poudre d'or en lui disant

pour payer les frai de psycologue de ton rat

avec un grand sourire a la bouche il trouver le néko amusant ainsi que éffrayant
mais le néko devait lui en vouloir d avoir eu la gentillesse de fair visiter gratuitement la bouche de kurushimi mais lui trouver sa marrant de fair des conerie comme sa

Les yeux noir et injectés de sang, Miyavi avait vraiment l’air d’un animal assoiffé de sang ou en pleine chasse, ne cherchant qu’à voir couler le sang chaud sous sa langue puis le long de sa gorge et à déchirer la chair de sa proie… Mais il n’était pas un chat a part entière, et loin de là l’envie, et même l’idée, de manger la chair crue, déjà qu’il ne mangeait pas… Si c’était pour manger de la viande crue, vous pouvez toujours repasser dans 10 ans voir si un quelconque changement a eu lieu mais a mon avis… Ce n’est pas gagné. Le seul moment où il se forçait à manger de la viande pour « vivre » la moindre tache de rouge ou pourpre, si petite soit-elle, lui donnait envie de vomir, et la tranche finissait soit à la poubelle soit a la casserole a attendre de griller.

Il ne se rendit pas trop compte de se qui se passa ensuite, ça avait été assez vite, et il avait fait tout sans réfléchir qu’il se retrouva la petite cage de son rat dans les mains, avec l’animal dedans, toujours aussi traumatisé, ne comprenant rien a ce qui lui arrivait, se demandant pourquoi on l’avait sortit de sa maison pour l’emmener dans un endroit aussi bruyant et dangereux. Pauvre bête… Soudain, quelque chose fit tilt dans sa tête… L’home qui avait essayé de lui volé ses affaires… Il tourna la tête et l’aperçut allongé au sol, baignant dans son sang, avant d’entendre un cri qui lui déchira le tympan, quelqu’un l’avait finalement vu, mort au sol… En un clignement de paupières, ses yeux retrouvèrent leur gris habituel et le sang de ses yeux disparut. Son regard effrayé se posa sur l’homme qui avait commencé a traumatisé son rat à peine sortit de l’animalerie… C’était quoi ça ? La haine qu’il avait vers l’homme resta la même, mais la peur grandit, il était complètement déboussolé. Pourquoi… Qu’on lui explique pourquoi il avait fallu qu’il le tue… Le faire fuir aurait largement suivit, mais le tuer… Il commençait à voir en lui ce qu’il voyait en son maître : un être sans scrupules. L’homme en face de lui lui faisait peur, il recula quand il s’approcha de lui, les griffes sorties, prêt à lui sauter dessus si un seul de ses mouvements lui indiquait un danger ou alors à se sauver s’il n’arrivait plus à contrôler la peur. Il lui tendit alors quelque chose… Il l’attrapa d’une seule main, aussi prudemment qu’il en était capable, et ouvrit le sac tout en écoutant ce qu’on lui disait. A la vue du contenu, sa haine ne fit qu’augmenter un peu plus, oubliant toute prudence, il retourna le sac et vida se qu’il comportait tout en marquant son geste d’un

"Oups"

bien plus qu’ironique. Un bourge… Il les détestait, pour lui, ils étaient tous dans le même paquet, il n’avait connu presque que ça depuis ses 8 ans, tous pire les uns que les autres, mais le pire restait son maître quand même. A cette simple pensée, ses dents pointues se découvrirent toutes seules sans qu’il ne s’en rende compte. La vue du corps sans vie a quelques mètres de lui le faisait faiblir et le dégoutait, il choisit donc de retourner au banc un peu plus loin, plantant le garçon au milieu de la foule. Qu’il fasse ce qu’il voulait, ce n’était plus le problème de Miya’, il ne l’aimait pas. Même si il n’avait pas l’habitude de juger aux apparences ou toutes autres choses qui étaient souvent trompeuses, il ne pouvait pas s’en empêcher, il faudrait bien du temps et de l’espoir pour qu’il arrive à accepter un bourge, même accepter quelqu’un tout court. Bonne chance à celui qui voulait essayer… Et puis, pourquoi quelqu’un essayerai d’abord ? S’enticher de quelqu’un comme lui n’avait aucun intérêt, il l’avait compris depuis longtemps. Les gens faisaient toujours ce qui leur était favorables, le reste ne les intéressait pas, si ils n’avaient aucun intérêt à en tirer, alors pourquoi faire quelque chose pour cette personne ? Pour rien.

il vida le sac tout en marquant quil nen voulait pas avec le oups ironique propre a toute les conerie des salopris de néko
mais celui la était étrange il avait une force plus puissante que les autre néko
mais quand il n était pas énerver il ressemblais plutot a un homo
mais cela il se garderai de lui dire car sa ne lui plairai surment pas
soudain kurushimi remarqua que il était partie sur le banc sur lequel il était assis auparavant
donc il parti vers lui car il ne voulait pas lacher l afair si vite
en controlant le corp du néko grace a sa maitrise de l eau il l emena dans un bar plustot étrange remplis de démons vampire et autre race plustot maléfique
la ils serait mieu pour discuter

hey te tracasse pas pour ton rat

tout en lui tendant un vers de biere blonde
mais apart lui lancer des regard haineux il ne fesait pas grand chose
c'est a se demender pourquoi tout le monde a aussi peur de kurushimi

Il s’était retrouvé là, sans vraiment savoir comment et pourquoi, même si il avait, à vrai dire, sa petite idée. Maintenant assis là à regarder autour de lui, il ne faisait qu’attendre tout en bouillant intérieurement. Le garçon en fasse de lui commençait sérieusement à l’énervé, et il sentait qu’il allait bientôt finir par explosé, et là, ça ne serait pas très beau a voir… Les regards qu’il portait à celui qu’il qualifiait de con devait sans doute lui faire comprendre tout ce qu’il pensait, a commencer par le fait qu’il lui sauterait volontiers dessus pour le bouffer si il n’eut pas été un peu trop je m’en foutiste et légèrement végétarien sur les bords.

~~Mais, voila, il y a toujours un mais, c’est ballot ça n’est-ce pas ?~~

Mais, le verre posé devant lui l’appela, et il ne pus résister à la tentation : il posa, non claqua, son poing droit sur la table a la gauche du verre, ce qui lui valut plusieurs regards surpris des gens présent, mais pour couronner le tout, il envoyé un grand coup son bras vers la droite, ce qui propulsa le verre beaucoup de mètres plus loin, et qui, pauvre de lui, fini sa course contre le mur et comme si ce n’était pas assez, il était en plusieurs morceaux. Les quelques regards déjà sur eux se multiplièrent et devinrent finalement les regards de toute la salle. Maintenant qu’il avait commencé à s’énervé, ce n’était plus le moment de faire les choses a moitié. Il plaqua ses mains sur la table, tout en se levant. Ses yeux, d’un naturel gris très clair, étaient devenus noirs, comme à chaque fois qu’il s’énervait, soit, beaucoup depuis cette dernière heure.

"Maintenant tu vas arrêter d’me faire chier et de me trainer partout où tu le veux, compris ? Tu me fais chier, ça aussi c’est compris, ou t’es trop con pour y arriver ?"

Sur cette sympathique déclaration, il se leva, pris toutes ses affaires en soupirant, et se dirigeait vers la sortie, ignorant les gens autours de lui qui l regardais comme un fou, voir même plus. Il lui aurait bien pourris sa journée qu’il aurait du passer tranquillement, celui là. S’il avait su, jamais il ne se serait arrêté sur ce banc, il serait directement rentré au pensionnat ou alors il aurait été dans un parc, là où jamais il ne l’aurait croisé. Il se calma enfin un peu, tout en marchant. Qu’il était grand ce bar, et en plus il était au fond, il ne savait même pas si il arriverait à retrouver la sortie qui se dressait maintenant devant lui. Jamais il n’avait autant apprécié une porte de toute sa vie… Si seulement…